ANNET
Le village
Le village
Aux confins de la Brie Champenoise, cette paroisse est située sur la rive droite de la Marne, qu'on y traverse sur un bac, à deux lieues et quart ouest sud ouest de Meaux.
Au XIe [11ème] siècle, après leur établissement dans la paroisse, les moines clunisiens entreprennent le défrichage des forêts avoisinantes et le développement de l'agriculture. L'exploitation des terres d'Annet a permis aux moines d'élaborer un système à plus grande échelle que celui jusque là éprouvé. En organisant les productions et la sécurisation du territoire, en élargissant les structures et leur diversité pour en parfaire l'autonomie et le rendement ils ont insuflé aux autres ordres une méthode qui s'est progressivement généralisée sur tout le territoire français.
Toponymie Altare de Anetho (1076), Alnetum (1120), Anetum (1150), Anet (1195), Annetum (1301), Villa de Agneto (1340), Agnet (342), Enet sur Marne (1372), La ville de Anet (1398), Asnet (1459), Ennet sur Marne (1549), alias Anet. |
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CIRCONSCRIPTION | |
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Dames, seigneurs | |
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PRODUCTIONS : Grains, foins, vins. On y trouve des carrières, des fours à plâtre et une tuilerie. Il y a un port assez marchand, où l'on décharge beaucoup de fer que les rouliers de Picardie voiturent à Beauvais.
MARCHÉS : Le deuxième dimanche de chaque mois (Marché aux puces).
DÉMOGRAPHIE | ||
PÉRIODE | FEUX | HABITANTS |
1709 | 137 | |
1726 | 620 | |
½ XVIIIe [18ème] | 137 | |
1759 | 141 | |
¾ XVIIIe [18ème] | 140 | |
XIXe [19ème] | 881 |
La cure
Après les invasions normandes, la cure et ses revenus sont donnés à l'abbaye de Saint Martin des Champs en dédommagement de la perte de leur abbaye parisienne. Leur établissement reconstruit et rétabli, le roi Henri Ier le dote en 1060 de la terre d'Annet, d'une ferme à Pantin et de la moitié de la seigneurie de Louvres, à quatre lieues de Paris.
Les six propriétés concédées à l'abbaye de Saint Martin des Champs :
MOLENDINUS - ALBERTIVILLARE - ANETUS - BONGEIAS - DYSIACUS - NOYSYACUS
En 1076 Gautier I, dit SAVEYR ou SAGE, évêque de Meaux, y ajoute le droit de présenter à la cure. Le prieuré de l'ordre de Cluny est érigé peu de temps après dans l'église même d'Annet, avec trois religieux.
In terri
torio autem Meldensi, villam no
mine Anetum cum omnibus re
ditibus atque redibitionibus, terre, sil
ve, vinearum atque pratorum, de
reditibus quidem pastionis, vyerie
silve atque leigii omnem decimam
Le 4 mars 1338 le prieuré d'Annet est réuni par le pape Benoit XII [12], en faveur de jeunes étudiants, à la mense du prieuré de Saint Martin des Champs dont il dépend.
Au XVIe [16ème] siècle le village d'Annet sur Marne est acheté, entre autres biens, par le Collège de Montaigu, suite à un legs d'Ulrich Gering.
En 1726 le prieuré vaut six mille livres de rente mais un arrêt royal en 1749 supprime les droits de péage détenus par le prieuré de Saint Martin des Champs qui ne perçoit plus alors en 1759 que 800 livres de rente.
L'église est rebâtie entièrement au commencement du XVIIIe [18ème] siècle puis restaurée en 1819.
PATRON : Saint Germain d'Auxerre.
FÊTE : 31 juillet (Saint Germain).
CURÉS : v. 1644 à v. 1664 - Nicolas GASTINEAU | XVIIe siècle - Claude BÉRANGER. | 1756 - M. BOUCHER.
Bienfaisance
En 1239, il y a une léproserie à Annet à laquelle Anseau De Cuisy, voulant partir pour la terre sainte, lègue cinq sols en présence de Pierre De Cuisy, son frère, évêque de Meaux.
Lieux-dits d'ANNET
Le port d'Annet est un des plus importants avec ceux de Meaux, Lagny sur Marne et Villenoy.
Le village est environné de jolies maisons de campagne, parmi lesquelles on distingue celle qui appartient v. 1841 M. Pegeron et celle de M. Pechard, avec un jardin anglais soigné (v. 1841).
- Andrezy (1578), ancien lieu-dit.
- Angluse, — Nemus quod vocatur Angluz (1244), — Le bois d'Angluz (XVe [15ème] siècle), bois à Annet sur Marne.
- Botray, — Le ru de Boiteret (1472), — Le ru Boterel (1519), — Bouterel (1581), — Botraict (1610), — Bauteret (1664), — Botray (1759), — Beautray (XVIIIe [18ème] siècle), — (1810), ruisseau, affluent de la Marne et lieu-dit.
- Carnetin est un ancien fief d'Annet sur Marne.
- Carrouge, — Le Carrouge (1340), — Le Quarouge (1341), — Quarrouge (1371), maison qui appartient v. 1841 aux héritiers Chartier et v. 1843 à M. Savreux.
- Chagny, — Nemus quod dicitur Chaagni situm in territorio et parrochia de Aneto (1244), — Chergny (1371), — Le bois de Chagny (XVe [15ème] siècle), ancien bois.
- Chambry, — Le fief de Sanois ou Chambry (1774), — Chambry (1841), ancien fief, château, maison bourgeoise et dépendances. (Voyez Sanois)
- Chanteloup. (Voyez Chantemerle)
- Chantemerle, — La moitié d'une masure appellée Chantemerle assise en la ville d'Annet (1480), — Le fief de Chantemarle (1566), — Le fief de Chanteloup ou Chantemerle (1774), ancien fief.
- Chemin des Postes, ancienne voie romaine qui relie Trilbardou à Lagny sur Marne en passant par Charmentray, Fresnes sur Marne et Annet sur Marne.
- Dauroy, ancien fief, maison bourgeoise et dépendances près de l'église.
- Etry, — Le fief d'Estrée autrement dit Plailly (1511), — Le fief de Plailly dit de Trie, au village d'Annet (1537), — Le fief de Tree ou de Plailly (1547), — Le fief de Pied de cer et de Plailly dit d'Estry (1664), — Le fief d'Etry autrement dit Pied de cerf (1687), — La maison et fief d'Estry conciste en un grand hostel, deux jardins et enclos (1696), ancien fief et château qui appartient v. 1841 à la vicomtesse De Léry née Kellermann.
- Faverieux, — Une meson séant à Faverius (1316), — Faveris (1316), — La ville de Favery (1317), — Faverieulx (1384), — Favrieulx (1500), — Une voyrie appellée vulgairement la Voyrie aux Asnes ou de Faverieulx (1546), — Le lieu et ferme appellé Faverieulx (XVIe [16ème] siècle), maison détruite.
- Fontaine Bondy (XVIIIe [18ème] siècle), ancien lieu-dit.
- Fontaine Renout, — Pons qui communiter appellatur Fons Renoldi in territorio de Alneto (1266), ancien lieu-dit.
- Fontaine Rouget (XVIIIe [18ème] siècle), ancien lieu-dit.
- Fontenelles, — Les Fontenelles (1340), — Fontenelles (1410), — Un fief séant en Fontenelles (1480), ancien fief.
- La Bardine, — L'isle la Bardine (1500), île dans la Marne.
- La Croix Charbonnière (1810), lieu-dit.
- La Croix Gauthier (1810), lieu-dit.
- La Croix Hélouis, — La Croix Helloys (1480), — La Croix les Louis (XVIIIe [18ème] siècle), — La Croix Elouy (1810), ancien lieu-dit.
- La Fagote ou La Peziere, ancien fief et maison détruite.
- La Fontaine Buisson (1580), ancien lieu-dit.
- La Fontaine Hart, — Fonteine Hart (1376), — La Fontaine a Hart (1410), — Fontaine Hart (1480), ancien fief. [Le hart est un lien d'osier ou de bois souple, une corde, généralement utilisée pour la pendaison des condamnés.]
- La Fosse aux Loups, — Le fief de la Fosse aux Loups (1340), ancien fief.
- La Fromagère (1810), lieu-dit.
- La Madrie, maison bourgeoise isolée et dépendances.
- La Marne, — Matrona (1er s.), — Materna fluvius (632), — Fluvium maternæ (v. 670), — Fluvium matrena (v. 700), — Matrona (846), — Materna (1096), — Maderna (1158), — Marna (1185), — Aqua Materne (1254), — Le fleuve de Marne (1281), rivière affluent de la Seine.
- La Peziere, ancien fief. (Voyez La Fagote)
- La Provence (1810), lieu-dit.
- La Voirie aux Asnes. (Voyez Faverieux.)
- Le Bac, hameau.
- Le Bois Rainaud, — Boscus Rainaldi (1186), ancien bois.
- Le Bordel, — Le Bourdel (1340), — Le Bordel (1519), ancien lieu-dit. [Un bordel est une cabane, une petite ferme.]
- Le Breuil, — Le Breuil (1410), — La voie de Brail (1412), — Le Breil (1480), ancien fief. [Un breuil est un lieu de clos (Bois, parc, taillis, etc.) dans lequel sont enfermés, piégés des animaux sauvages.]
- Le Château, — Le Chatel (XVIIIe [18ème] siècle), — Le Chateau (1810), lieu-dit.
- Le Colombier (1810), lieu-dit.
- Le Courtil Requichon, — Le courtil qui fut Requichon (1371), ancien lieu-dit.
- Le Fief Pied de Cerf. (Voyez Etry.)
- Le Four, — Le chemin du four (1480), ancien lieu-dit.
- Le Four Saint Martin, — Furnum Sancti Martini (1150).
- Le Moulin de la Folie (1847), maison inhabitée.
- Le Moulin Neuf (XVIIIe [18ème] siècle), lieu-dit.
- Les Carreaux, — Les Quarreaux (1410), ancien fief.
- Les Gacheux (1341), ancien fief.
- Le Tertre Montgy (XVIIIe [18ème] siècle), ancien lieu-dit.
- Le vieux Moulin (XIXe [19ème] siècle), lieu-dit.
- L'Île de Bergerot, — L'isle de Bergerot (1500), dans la Marne.
- L'Île de la Porte (1519).
- Louche, château.
- Monthanon, maison isolée (1472 - 1527 - 1553)
- Montvetu (1774) ou Nicolay, ancien fief.
- Plailly (1774), ancien fief. (Voyez Etry)
- Prunay (1410 - 1412), ancien fief.
- Rondel (1138), ancien lieu-dit.
- Sanois, château qui appartient v. 1841 à madame la comtesse de COURCY, démoli avant 1843. (Voyez Chambry.)
- Saint-Antoine, belle maison bourgeoise et parc.
- Vallehart (1371), ancien lieu-dit.
Les moulins d'ANNET
- Carrouge, — Le Carrouge (1340), — Le Quarouge (1341), — Quarrouge (1371), moulin détruit qui appartient v. 1841 aux héritiers Chartier et v. 1843 à M. Benonic.
- Le Moulin d'Annet, — Le moulin d'Annet (1410), — Ung moulin à blé avec la maison, court, jardin et apartenances, appellé le Moulin banier d'Annet (1498), — Ung moulin à bled assiz sur la rivière de Brevonne près de nostre seigneurie d'Annet du Marne, qui est tout en ruyne, decadence et inhabité (1573), moulin à eau à deux tours (XXe [20ème] siècle), sur la rivière de Beuvronne.
- Le Moulin Lepelletier (1847), moulin à eau qui appartient v. 1841 à M. PELLETIER.
- Vilain, moulin à vent qui appartient v. 1841 à M. PELLETIER, démoli avant 1843.
Les notables d'ANNET
- DES VERGERS d'Auffreville Pierre (Ancêtre de Joséphine de BEAUHARNAIS)
Faits-divers d'ANNET
10 décembre 1317 - Un homme d'Anet, que l'on appeloit le barbier d'Anet, et ses filz, furent pris à Noisi, et en persone, de la gent Saint Martin, pour le murtre du sergent de Saint Martin qui avoit esté murtriz esprez d'Anet où il gardoit les foins Saint Martin. Ils furent menez à Paris, et en persone, à Saint Martin, pour ce fait ; il s'en mitrent en anqueste, et fust faite l'anqueste contre eus, sus ce fait, par la gent Saint Martin. Et après, la gent Saint Martin les remenerent arrière, à Noisi, et les menerent à fourches [Fourches patibulaires.], et firent semblant de pendre les [La présentation de la question est restée dans l'ancienne procédure criminelle.]. Il ne voudrent riens confesser ledit murtre ; et pour ce que il n'estoit pas bien prové à plein contre eus, la gent Saint Martin, à tous jours et sus la hart, de toute la terre Saint Martin.
26 février 1572 - Claude Poullion, veuve de Nicolas Plailly, marchand laboureur, demeurant à Fresnes, autorisée par Raullet Plailly, demeurant audit Fresnes " son époux et futur mary " : donation à Jean Plailly, laboureur, son fils et à Marion Plailly, femme de Thomas de Barle, laboureur, demeurant à Fresnes, sa fille, de vignes et de terres aux terroirs d'Annet-sur-Marne et de Fresnes (près Claye-Souilly), de bâtiments à Fresnes, d'une maison à Chambry (près Lizy-sur-Ourcq), de terres et de vignes au terroir de Chambry et d'une rente.
Huitième guerre de religion - Le 13 mai 1590, trente cavaliers de la garnison de Meaux se mirent en embuscade à la ferme de la Conche sur la paroisse de Trilbardou, et laissèrent quelque infanterie dont ils étaient suivis, dans une maison voisine pour les soutenir. Leur dessein était de surprendre quelques picoreurs des troupes du Roi qui étaient logés à Annet. Dès le matin se présentèrent environ cinq cents lansquenets devant le village même de Trilbardou, mais les paysans qui s'étaient préparés à les bien recevoir, les obligèrent de se séparer. Une cinquantaine d'entre eux prirent le chemin de Charny et furent chargés au passage par les trente cavaliers qui en tuèrent quatorze et en blessèrent plusieurs. Depuis ce temps-là, les lansquenets ne sortirent plus d'Annet pour aller à la picorée.
1650-1656 - Mouvance censuelle. — Terrier de la seigneurie de Chambry. — Censitaires : messire Philippe Desvergers, écuyer, seigneur de Chambry, du Sannois et d'Annet, en partie, et dame Louise de Lonvilliers, son épouse ; — maître Pierre Janvier, curé de Crégy, en son nom et comme se portant fort de Gabriel Janvier, huissier au Châtelet de Paris, et de Pierre Bossé, huissier au bailliage du Palais, à cause de Catherine Janvier, sa femme, héritiers de feu Marguerite Lemadre, en son vivant femme de Roch Janvier, leur père ; — l'Hôtel-Dieu de Varreddes ; — MM. Leber et Cosset ; — le marquis de La Luzerne ; — madame de Bouguinville ; — maître Charles Hannier, conseiller et élu à Meaux ; — maître Charles Morin, en son nom et comme tuteur des enfants de Nicolas Olin ; — Claude Baron, vigneron ; — Charlotte Hubert veuve de Jean Lourdin ; — Christophe Leblanc, laboureur ; — Etienne Chambault, tailleur d'habits, tous demeurant à Chambry ; — Etienne Cholin, laboureur et vigneron à Mareuil ; — Françoise Bertheux, veuve de feu Isaac Hubert, demeurant à Penchard ; — Guillemette Moret, veuve de feu Etienne Trouet, vivant laboureur à Barcy ; — maître Jean Marteau, procureur fiscal de la terre et seigneurie de Chambry ; — Jean Pommart, marchand chaussetier à Meaux ; — Jean Trouet, laboureur à Barcy ; — Jean Devillenoy, maître d'école et clerc paroissial à Chambry ; — Jean et Rolland Mocarre, laboureurs, l'un à Villeneuve-sous-Dammartin, l'autre à Marcilly ; — Jean Thibault, maître tanneur à Meaux, à cause de Marie Milly, sa femme ; — Jean Luart, archer en la maréchaussée dudit Meaux, marchand, maître boucher en cette ville, etc.
12 janvier 1656 - Claude Chomel, ancien conseiller du Roi et trésorier général des Ligues de Suisse et Grisons, demeurant à Saint-Germain des Prés lez Paris, dans les Incurables, paroisse Saint-Sulpice tant en son nom qu'au nom de Pierre Chomel, prêtre, vicaire général de l'évêque de Saint-Flour, son frère : donation à Claude Chomel, écuyer, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul de maisons et terres à Villevaudé, Montjay[-la-Tour], Bordeaux, Claye, Souilly, Annet, Charny, à Messy et aux environs.
04 mars 1676 - Claude Chomel, ancien conseiller du Roi au grand Conseil demeurant à Paris, rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul : donation à Jean-Baptiste Chomel, écuyer, son frere, demeurant rue et paroisse Saint-Paul de plusieurs maisons à Villevaudé et de terres aux terroirs de Villevaudé, Montjoy, Bordeaux, Claye, Souilly, Annet, Charny, Messy et aux environs.
Marie-Geneviève Chantepie, née le 7 décembre 1724, baptisée le même jour, filleule de M. Vincent Fournier, laboureur en cette paroisse, et de Marie Champoudry, de cette paroisse. Le 20 juillet 1745 à Mitry-Mory, François Nicolas Aubré, âgé d'environ 29 ans, fils de Pierre Aubé, marchand de blé demeurant à Trilbardou, et défunte Jeanne Ronnot, épouse Marie-Geneviève Chantepie, âgée d'environ 21 ans, fille de Claude Chantepie, hôtelier en cette paroisse, et Geneviève Néry, en présence du père de l'époux, de Claude Pierre Aubé, meunier à Annet, son oncle, de Pierre Aubé, marchand de blé à Trilbardou, son frère, de Pierre Nicolas Hannoteau, laboureur à Chambry, beau-frère, de Jean Bigeau, laboureur à Trilbardou, de Jacques Delaire, laboureur à Charny-en-France, Nicolas Baudequin, aussi laboureur à Charny, et autres, et, du côté de l'épouse, de son père, d'Antoine Michel organiste de cette église, son beau-frère, de Me Charles Domont, greffier de la prévôté de Mitry, de Jean Antoine Lepape, maître patissier à Paris, cousin, et autres. François Nicolas Aubé est né à Trilbardou (Seine-et-Marne) le 31 décembre 1715. François Nicolas Aubé est né à Trilbardou et a été baptisé le 31 décembre 1715. Dame Marie-Geneviève Chantepie, âgée de 92 ans et 8 mois ou environ, née à Mitry, canton de Claye, veuve du sieur François Nicolas Aubé, cultivateur, est décédée à Meaux le 8 juin 1817, décès déclaré le lendemain par le sieur François Bernard Aubé, négociant, son fils, et le sieur Isaac Aubé, son petit-fils.
décembre 1790 - Arrêts déboutant Pimparey, régisseur de la ferme de Chambry appartenant à M. de Sannois, de sa demande d'exemption de tailles de la paroisse d'Annet.